[Prison Break] Strong and Alive

Purée, passage express dans la fic de Milii Je n'aime pas trop Sofia non plus, j'sais pas vraiment pourquoi

Enfin bref, malgré son destin tragique ( ), ta fic continue toujours aussi fort, c'est super. Le suspens est au rendez-vous

Pauvre Sofia
Ah ça se complique tout ça maintenant avec Mahone qui les espionne dans la cellule d'à côté.
Poste nous vite la prochaine suite!!!!!

oui faisons le deuil de sofia............... hop voilà qui est fait, maintenant pour fêter ça passons à la suite avec le première partie du chapitre 8 !!!!




Chapitre 8 : Planning the escape

https://www.youtube.com/watch?v=dMyIG2EKPoE

Sona 5 jours plus tard vers 15 heures (pensées de Mike)

M (entrant dans sa cellule où l’attendent Mahone et Wistler) : J’ai vu Linc il y a quelques minutes en visite. Il dit que tout est prêt à l’extérieur.
W : Tout est pris en compte une fois que nous serons hors de ces murs ?
M (avec un sourire malin) : A la seconde même où on posera un pied dehors.
Ma (en sueur) : Je vois que tu as prévu chaque petit détails Scofield.
M (regardant Mahone méfiant) : Reste à savoir maintenant si vous avez bien compris comment tout ça va se dérouler de l’intérieur ?
W (désignant un endroit sur la carte dessinée au sol par Michael) : On sort de ce côté… combien de temps on a déjà ?
M : Deux minutes et pas une seconde de plus.
W (montrant un autre endroit) : Et ton frère nous attendras ici ?
M : Oui avec tout ce dont on a besoin pour disparaître.
Ma : Wha… deux minutes pour passer tous les trois c’est…
M : Tous les quatre.
W (inquiet) : Quatre ?
M : Oui petit changement de programme, j’ai décidé d’intégrer une autre personne à notre évasion (ironique) ça vous pose un problème ?
Ma (énervé sous les effets du manque de drogue) : Oui moi ça me pose un problème Scofield. Je risque ma vie sur ce coup là et je ne veux pas qu’un petit blaireau vienne tout foutre en l’air. Il est hors de question que quelqu’un d’autre nous rejoigne sur ce coup. C’est un plan prévu pour trois et un quatrième serait de trop.
M (déterminé) : Et bien t’auras intérêt à te bouger Alex si tu ne veux pas te prendre une balle parce que je ne vous demande pas votre permission.
W : Qui veux tu intégrer exactement ?
M (après un léger silence les regardant d’un air hautain tous les deux) : Mac Grady.
Ma : Quoi… ce petit voleur… je ne peux pas croire que tu vas faire foirer notre plan à cause de ce… de ce petit vaurien.
M (criant) : La ferme Alex. Ce n’était pas « notre » plan, tu n’en faisais même pas parti à l’origine.

Flash back 5 jours plus tôt :

Ce type, Wistler, il ne m’inspire pas du tout confiance. Il y a quelque chose de louche derrière son histoire « trop parfaite ». Je rentre dans ma cellule, m’accoudant à la fenêtre pour observer toutes nos possibilités d’évasion. Je revois alors les événements de ces derniers jours défilés sous mes yeux. Tout d’abord, quand un détenu s’est échappé par l’une des fenêtres, et qu’il s’est fait abattre aussitôt. Nous n’auront pas la possibilité de nous faire passer pour mort non plus, les gardes ayant mis une balle dans la tête de chaque homme tué au sein de Sona par prudence.

J’essai de me concentrer au maximum mais la chaleur de ma cellule avoisinant les 40°C et la pensée de savoir Sara dehors sans moi ainsi que LJ pris en otage, ne m’aident pas beaucoup dans mes réflexions.
Je suis immobile devant cette fenêtre depuis déjà plusieurs minutes quand un mal de tête commence à me prendre. Je suis à bout de nerf, comme si la situation n’était pas déjà compliquée, il a fallu que la compagnie ait enlevé mon neveu pour mettre à profit leurs recherches sur moi. Oui à présent je suis sûre qu’il s’agit de ça. Ce gars que Sara a tué nous l’a bien prouvé quand il nous a dit qu’il n’avait besoin que de l’un d’entre nous avant de retourner son arme contre Lincoln. Quant à Mahone, il nous a avoué un peu avant son arrestation que dorénavant la compagnie nous voulait vivant. Elle me voulait, moi, vivant.

Justement alors que je suis perdu dans mes pensées essayant de trouver un moyen de nous sortir de là, Mahone fait irruption dans ma cellule.

Ma : Qu’est ce que tu fais assis là à regarder dehors Scofield ?
M (se retournant d’un air méfiant) : …
Ma (ironique) : Tu n’as pas dans l’idée d’aller faire un tour dehors sans moi j’espère ?
M (sarcastique) : Je ne faisais que repenser au bon vieux temps Alex, à des souvenirs agréables. Quand je t’ai piégé comme un rat avec les kilos de drogue que j’avais mis sur le bateau.
Ma (lâchant un petit rire cynique) : Ah… je sais parfaitement ce que tu mijotes Scofield. (le plaquant contre le mur dans un mouvement rapide et pointant un couteau contre sa gorge) Il est hors de question que toi et ce Wistler je ne sais quoi vous vous en alliez d’ici sans moi, est-ce que c’est clair ?
M (très calme alors qu’il a une lame enfoncée contre sa carotide) : Tu devrais garder ton calme Alex. Tu as des hallucinations, tu devrais peut être songé à arrêter la drogue à mon avis.
Ma (enfonçant l’arme plus profondément) : Ne je joue pas à ce petit jeu avec moi Scofield. Tu t’intéresses bien soudainement à ce Wistler, je suis sure que tu ne voudrais pas qu’il lui arrive malheur, dans son intérêt et dans celui de ta famille. Je ne sais pas ce que te veux la compagnie mais crois moi je finirai par le découvrir.

La lame aiguisée et froide de son couteau est imprégnée dans ma chair. Je n’arrive pas à déglutir à cause de la douleur que cela me procure, mais je ne bouge pas d’un millimètre. Je tente de garder mon sang froid malgré cette violente chaleur qui m’envahi et cette soudaine envie de l’étrangler qui me tiraille. J’ai trop peur qu’il arrive quelque chose à LJ, Lincoln ou encore Sara. Qui sait ce que la compagnie serait capable de leur faire si Wistler mourait. Contre mon grès, je lui envoi alors un bref signe de la tête lui assurant ainsi de ma coopération tout en restant sur mes gardes.

Ma : Bien… très bien (sortant de la cellule sous le regard haineux de Michael, les mains moites et tremblante sous les effets de la drogue).

Fin du flash back

Ma : Quoi tu vas me dire que tu veux lui sauver la vie ? Comme tu as voulu sauver la vie de Tweener ? Tu n’as pas remarqué Michael que tout ceux dont tu t’approches se retrouvent six pieds sous terre ou ont leur vie gâchée par ta faute comme c’était le cas pour ton père, Lincoln ou encore la charmante Sara.

Je ne peux plus me maîtriser. Ses paroles m’insupportent. Je ne veux plus entendre un seul mot sortir de sa bouche. Une pulsion incontrôlable s’empare de moi, je l’attrape à la gorge et le cogne violemment contre le mur proche de mon lit. Je resserre de plus en plus mes mains autour de son cou afin de lui enlever la moindre molécule d’air qui lui reste au fond de ses poumons.

W : Arrêtez les gars ou vous allez nous faire repérer. Michael…

Je le regarde droit dans les yeux avec une profonde haine alors que son visage devient un peu plus rouge à chaque seconde qui passe. Il suffoque. Il n’arrive plus à respirer. La pression de Wistler sur mon bras me fait desserrer mon attache. Je le relâche mais lui assène un violent coup de poing dans la figure afin d’extérioriser toute la rage qui boue en moi.

M (hurlant sur Mahone) : Ne prononce plus jamais son nom. Tu m’as compris !
W et Ma (le regardant ahuris) : …
M : Je vais voir Mac Gray pour lui parler de nos plans. Je ne laisserai pas ce gosse crever ici.

Je me retourne et sors de ma cellule en direction de celle de Mac Grady. J’ai comme l’impression que ma cage thoracique va exploser sous les impulsions de mon cœur qui bat à tout rompre. Je tente de me calmer. Il faut que je me calme.




bon un peu moins de misa dans cette suite et un peu plus d'intrigue et c'est pas fini jusqu'à ce que les deux se regroupent !!

bin alors c'est parce qu'il n'y a pas de misa, que c'est nul ou parce que vous avez oublié que personne n'a commenté la suite précédente ??? bon quoi qu'il en soit, je poste la prochaine. j'espère que vous aimerez, toujours pas de misa par contre. dsl faut faire avancer l'histoire !!




(Quelques minutes plus tard toujours à Sona et toujours pensées de Michael)

Je me suis éloigné quelques mètres plus loin de ma cellule, adossé contre un mur, essayant de reprendre mon souffle et mes esprits.

En pleine après midi la vie suit son court au sein de Sona, pourtant il flotte dans l’air comme une ambiance pesante, quelque chose se prépare. Je regarde autour de moi, les regards des détenus se tournent les uns vers les autres, méfiants. Des messes basses se font dans un coin et puis dans l’autre.

Lechero se trouve à quelques mètres de moi entouré de ses lèches bottes. Il discute avec Sammy mais je ne saisi pas grand-chose de leur conversation. Ils me regardent tous les deux un bref instant et je ne peux entendre que le mot « demain » sortir de la bouche de Lechero. Ce même mot qui fait réagir Sammy et se dirige un peu plus loin pour retrouver un groupe de détenus. Mon regard se tourne ensuite vers T-bag et je peux voir son visage s’éclairer par ces quelques mots prononcer par Lechero. Je le vois se frotter le menton, faire jouer sa langue entre ses dents mais il est bientôt stoppé quand nos yeux se croisent.

Je continue ma route vers la cellule de Mac Grady, essayant d’agir le plus normalement possible tout en continuant de regarder intensément en direction de T-bag. Je passe à ses côtés et je suis intrigué alors qu’il reste silencieux. Je suis maintenant dos à eux, quelques pas plus loin et je ne peux me retenir de vérifier brièvement par-dessus mon épaule ce qu’ils sont en train de faire.

Voyant que rien de se passe je continue mon chemin, tout en restant prudent et vigilent fasse au moindre mouvement agressif de l’un d’eux. J’arrive finalement jusqu'à la cellule de Mac Grady. Il est assis sur son lit, étrangement habillé. Il ne porte pas son maillot de basket habituel mais un costume qui le fait paraître plus vieux.

M (vérifiant encore une fois derrière lui) : Il se passe quelque chose d’étrange ici.
MG (ne l’ayant pas vu) : Oh Michael…
M (ayant retrouvé tout son calme) : Pardon.
MG : C’est mon père qui vient me rendre visite.
M (ne comprenant pas) : Comment ?
MG : Si je suis habillé comme ça… c’est parce que mon père viens me rendre visite. Il vient une fois par an.
M : Ah… heu… je ne parlais pas de ça mais de l’ambiance qui règne aujourd’hui dans Sona.
MG : Oui c’est vrai. Je ne sais pas trop ce qu’il se passe, ça arrive de temps en temps mais en général c’est plutôt mauvais signe.
M : Mauvais signe ?
MG : Bin il y a avait eu le même genre de choses un peu avant l’émeute de l’année dernière.
M : Et ça ne t’inquiète pas ?
MG : Je reste discret, j’essai de pas me faire remarquer et j’attends que ça passe.

Un silence s’est glissé ente nous pendant quelques minutes. Je suis stupéfait de voir qu’il réagisse aussi calmement à cette idée. Calmement n’est peut être pas le bon mot, il réagit plutôt avec indifférence comme s’il savait que sa vie se finira ici un jour ou l’autre. Cela me fait de la peine. Après 11 jours passés au sein de Sona, je suis touché par ce garçon, si jeune et sans espoir.

Avant Fox River, bien avant même que Lincoln ne soit incarcéré, j’étais un garçon arrogant, j’avançais sans vraiment avoir de but, je voyais ma vie défiler sous mes yeux. Et puis j’ai pris conscience du monde qui m’entourait et des gens qui souffraient encore davantage. Je me suis réfugié dans des œuvres caritatives en aidant les enfants déshérités de Chicago. Toute ma vie je me suis retrouvé à vouloir aider ceux qui en avait le plus besoin, et c’est encore le cas une fois ici à l’intérieur de Sona.

Mac Grady n’a pas l’air d’être un mauvais garçon et cela me fait de la peine de le voir indifférent face à son destin. Pourtant quand je le regarde plus attentivement, son corps semble dire le contraire des mots qu’il vient juste de prononcer, il a l’air anxieux. Je me rapproche de quelques pas pour finalement venir m’asseoir sur le lit en face du sien.

M : Tu es sure que ça va ?
MG : Oui pourquoi ?
M : Je ne sais pas… tu sembles… stressé.
MG : C’est parce que je ne vois pas mon père très souvent, donc j’appréhende toujours un peu.
M : Il vient à quelle heure ?
MG : Vers 16 heures.
M : Pourquoi ne vient il pas plus souvent ?
MG : Il habite loin, et puis… je n’ai pas envie qu’il me voit comme ça, pas ici.
M : Tu sais je… je repensais à ce que tu m’avais dit la dernière fois.
MG (intrigué) : A quoi ?
M : Que tu te serais bien vu faisant parti d’une des meilleures équipes de basket américaines.
MG : Oui, mais je rêve je le sais.
M : Mais c’est bien de rêver, surtout à ton âge. Il faut garder espoir, avoir la foi.
MG (baissant les yeux) : On n’a pas d’espoir dans un lieu comme celui-ci Michael.
M : Il y en a toujours, même à Sona.
MG : …
M : Tu sais qui je suis exactement ?
MG (relevant la tête étonné de la question de Michael) : Michael Scofield ?
M : Oui, mais tu n’as jamais entendu parler de moi avant ?
MG (secouant la tête) : …
M : Il y a un peu plus d’un mois de cela, je me suis évadé de Fox River une prison près de Chicago avec 7 autres détenus.
MG (surpris) : …
M : Je m’en vais d’ici dans moins de 48 heures maintenant. Tu peux venir avec nous si tu veux ?
MG (effrayé) : Michael, je ne veux pas avoir de problèmes, peut-être tu ne devrais pas me parler de tout ça.
M : Ecoutes, je ne veux pas te laisser ici. Tu n’es pas comme eux. Tu peux faire quelque chose de ta vie, avancer loin de Sona, prendre un nouveau départ. Je t’offre cette chance, ne la refuse pas.
MG : Je… je ne sais pas Michael…
M : Ok, je te laisse réfléchir. Je reviendrai une fois que tu auras vu ton père. Ne parles de ça à personne. (alors qu’il s’apprête à partir) Oh faite, qu’est ce qu’il vient faire tous les ans ?
MG : C’est mon anniversaire.
M (après une pause et avec un grand sourire) : Bon anniversaire.

Je quitte sa cellule soulagé et apaisé. Je suis certain qu’il nous suivra, j’ai vu la lueur qui a changé sur son visage, une lueur qu’on appelle l’optimisme. Au moins mon entrée à Sona en vaudra vraiment la peine rien que pour lui, rien que pour l’étincelle que j’ai vu se dessiner sur son visage.

Je traverse les couloirs pour rejoindre ma cellule, quand mon œil est attiré vers l’extérieur alors que je passe devant une fenêtre. Wistler est dans le quartier des visites, en train de parler avec une femme, brune et fière. Je ne comprends pas qui elle est, il m’avait pourtant dit que sa petite amie avait été tuée par la compagnie et qu’il ne lui restait personne ici.

Je ne suis pas rassuré, je fais donc demi-tour me dirigeant à nouveau vers la cellule de Mac Grady. Il n’a pas changé de place réfléchissant à la proposition que je lui ai faite.

M : Désolé de te déranger à nouveau, mais j’ai besoin que tu me rendes un service.
MG : Michael je…
M : C’est très important. Mon frère et Sara sont déjà passés aujourd’hui, (lui tendant un morceau de papier) pourrais-tu demander à ton père d’appeler ce numéro et de lui dire de dire ce qui est écrit sur le papier ?
MG : Michael… je n’ai pas encore pris ma décision, mais je ne veux pas impliquer mon père dans tout ça, c’est un homme bien tu sais.
M : Je n’en doute pas mais c’est très important….



Au même moment Wistler discute avec Suzanne.

W : Je croyais qu’on avait dit que tu ne devais pas venir ici, que c’était trop dangereux ?
Su : A l’approche du grand jour il fallait que je vienne vérifier que tous se passe comme prévu.
W : Le plan de Scofield se déroule bien. Il y a seulement ce Mahone, j’ai peur qu’il ne fasse tout dérailler. Lui et Scofield ne vont pas se supporter ainsi encore très longtemps, et puis il veut faire venir un nouveau détenu avec nous. Un jeune de 17 ans, par pitié je présume.
Su : Tues-les. Ils ne doivent pas venir s’interposer entre Scofield et nous.
W : Bien. Tout est près pour nous une fois dehors ?
Su : Oui. Trois sacs comme prévu pour Lincoln, LJ et Sara.
W : Deux seront suffisant. Je pense qu’on aura besoin de la fille plus longtemps que prévu. C’est son point faible, il réagit au quart de tour quand on prononce son nom.
Su : La clef de son cœur. On s’en prend à elle, on s’en prend à lui. Bien.
W : Au revoir Gretchen.

Suzanne / Gretchen se retourne et s’en va le sourire aux lèvres.




bon alors ?

Je viens de me rendre compte que j'ai COMPLETEMENT oublié de commenter ton avant dernière partie, Milii ! Pourtant je l'ai lu, mais j'ai du faire quelque chose d'autre en même temps et j'ai zappé

Enfin bref, je suis là maintenant, prête à te dire que j'ai A-DO-RE ces deux dernières parties !

J'ai bien aimé ce passage :

Citation :

MG : C’est mon anniversaire.
M (après une pause et avec un grand sourire) : Bon anniversaire.

Ça m'a tout de suite fait pensé à la scène entre Michael et Sara, quand il lui souhaite son anniversaire Sauf que là c'est Mc Grady, mais la scène est toujours aussi bien, parce qu'on sent que Michael aimerait bien l'aider, et j'espère qu'il va y arriver

Ça me fait douter à cause de la discussion entre Whistler et cette p*** de Susan

La suiiiite

Ouf j'y suis, 4 suites de rattrapées lol

alors d'abord, le petit passage de noel, super, des souvenirs comme celui la ne peuvent faire que du bien, donc c'est cool.

Pour sofia morte mais d'abord c'est qui elle bon aller je suis gentille, condoléances a sa famille lol..

Whislter, bon j'espère vraiment que son passage sera expresse a lui aussi, je ne peux pas le me voir celui la.

Mahone toujours la a se meler de ce qui ne le regarde pas, en plus il se permet de menacer Mike, attends que je te chope toi, pauve tacheeeeeeeee grr

Et toujours Mike avec son grand grnd coeur qui pense à MAc Grady..

bon maintenant reste à savoir ce qu'il y a dans ce bout de papier et si Mac grady va le faire, je pense que oui...

Et putai******* la fin grrrrr le whistler de mardeuhh, mais je vais le cogner ce con, rassure moi, ce n'ai pas lui qui commande quand meme... parce que la, il en a l'air........


la suiteeeee stp..

bon un chapitre avec un peu d'action et pas mal de violence donc soyez prévenu !! alors en fait à l'époque où j'écrivais ma fic c'était LE chapitre que j'avais hâte d'écrire et que j'avais prévu depuis très longtemps. donc j'avais pas mal la pression de poster parce que j'avais très peur de la réaction de certains en fonction de la fin, je crois même avoir perdu des lecteurs à partir de là, mais pourtant c'est ici que tout commence. bon aujourd'hui avec le recul, j'aurai améliorer certaines choses mais bon voilà... long chapitre en perspective !!!!




Chapitre 9 : First to die / Premier à mourir

Sona le lendemain matin (pensées de Michael)

Il est presque l’heure pour moi d’aller retrouver Sara à l’infirmerie comme chaque jour. Ce sera la dernière fois que nous nous verrons là bas puisque dans peu de temps, nous nous seront évadés de Sona pour ne plus y revenir.

Je suis impatient de pouvoir enfin la serrer dans mes bras, de pouvoir la toucher et d’être auprès d’elle autant que je le désire. Pourtant il y a ce sentiment qui persiste en moi, une peur immense que je ne peux contrôler et qui prend davantage d’ampleur à mesure que l’évasion approche. Une peur dictée par l’inconnu. Le fait de ne pas savoir ce que nous allons rencontrer une fois les clôtures de la prison franchies. Je suis conscient que le chemin est loin d’être fini et qu’il nous reste encore beaucoup à parcourir si l’on veut faire tomber la compagnie. Mais surtout j’ai peur de ce qu’ils ont l’intention de nous faire, de ce qu’ils avaient prévu pour nous dès le début. Je suis certain que tout cela ne va pas s’achever ainsi une fois que nous auront échangé Wistler et LJ.

Je sors de mes réflexions pour aller me passer un coup d’eau sur le visage avant que les gardes ne viennent me chercher pour aller rejoindre Sara. J’entends des pas venir jusqu’à ma cellule, je me retourne prêt à partir mais je suis surpris de voir qu’il s’agit en réalité de Mac Grady.

M : Salut.
MG : Salut… Michael… pour hier, mon père à bien laisser le message à ton frère.
M : Merci.
MG (embarrassé) : Et… heu je… je voulais savoir si… pour ce que tu m’as dit hier…
M (amusé) : Si ça tient toujours ?
MG : heu… oui.
M : Bien sur. Je serai ravi que tu viennes avec nous, mais tu dois avoir conscience que ça sera dangereux et difficile, tu dois prendre en compte tous les risques que cela comporte.
MG : Oui.
M : Très bien. On en rediscute dans quelques minutes si tu veux bien, je vais aller voir Sara.
MG : Ok pas de souci. J’ai hâte de la rencontrer et de voir à quoi elle ressemble vraiment parce que ta photo commence à être usée.
M (riant) :…
MG (plus sérieusement) : Elle doit vraiment en valoir la peine.
M (restant mué mais souriant timidement) :…
MG (interpellant Michael qui était prêt à partir) : Michael.
M (se retournant) : Oui ?
M : Merci.

Ce gamin est touchant. Il semble ému et tellement reconnaissant que je puisse lui apporter mon aide pour quitter Sona. Et pourtant il ne sait pas à quel point il m’a aidé lui aussi. Je ne parle pas de tous les services qu’il m’a rendus mais plutôt du fait qu’il est été l’une des personnes grâce auxquelles j’ai pu tenir dans cet enfer. Avant de me retourner et de partir voir Sara, je lui adresse un bref sourire tout en posant ma main sur son épaule et je peux voir son visage s’illuminer, lui renvoyant encore un peu de l’espoir qui est en moi et qu’il avait perdu depuis bien longtemps.

A mon arrivée dans l’infirmerie, Sara affiche un immense sourire aux coins des lèvres sans même chercher à se cacher du regard des gardes. Une fois que nous sommes seules, elle se jette presque sur moi pour m’embrasser ce qui me fait rire alors qu’elle est embarrassée et souri timidement, mais pour peu de temps car je m’empresse de reprendre ses lèvres contre les miennes pour terminer le baiser passionné que nous avions commencé.

A bout de souffle, il nous faut bientôt nous séparer pour reprendre une bouffée d’oxygène. Après un bref regard, nous échangeons un rire nerveux et synonyme de la joie que nous retenons depuis si longtemps et qui s’extériorise peu à peu.

Nous restons proches l’un de l’autre comme si nous ne voulions pas être séparés. Je lui caresse délicatement les cheveux, elle a sa main posée contre mon torse, ses doigts jouant doucement avec mon tee-shirt, le scrutant intensément comme si elle se retenait de me l’enlever complètement.

Elle finie par poser sa main contre mon cœur qui bat à vive allure comme à chaque fois que je suis en sa présence. Bercée par les pulsions folles qui résonnent dans ma poitrine et les mouvements de ma main sur sa nuque, elle ferme les yeux et je la surprends en train de sourire à nouveau passant légèrement sa langue entre ses dents, ce qui lui donne un air espiègle auquel je ne peux résister.

M (la fixant intensément) : Pourquoi tu souri comme ça ?
S (sentant le regard de Michael sur elle et laissant paraître un léger rire) : Heu… je suis toute excitée... (ouvrant les yeux subitement et rougissant légèrement) enfin je veux dire excitée parce qu’on ça y est, on sera bientôt tous les deux ailleurs qu’ici.
M (levant les sourcils pour la taquiner) : Huh hu.
S (le frappant légèrement contre son torse) : Michael Scofield, je ne suis pas ce genre de fille.
M (continuant son petit jeu) : Pourtant tu m’as dit que tu n’étais pas une fille sage.
S (le regardant avec un sourire coquin) : …

Elle est tellement belle, mais le regard qu’elle me lance à cet instant précis provoque en moi une avalanche d’émotions et je la découvre encore plus resplendissante qu’elle ne l’a jamais été. Je m’approche d’elle délicatement pour l’embrasser avant de poser mon front contre le sien, sentant la chaleur de son souffle contre mon cou qui me transporte à mille lieux d’ici. Mes mains descendent le long de ses bras pour venir s’entrecroiser à ses doigts. J’aimerais pouvoir rester ainsi auprès d’elle indéfiniment mais pourtant nous devons revenir à la réalité et parler de l’évasion une dernière fois.

M (s’écartant légèrement à regret) : Tout est prêt à l’extérieur ?
S : Oui. Sucre a rempli sa mission, Lincoln s’est occupé de tout ce dont on aura besoin pour l’évasion quant à moi, je m’occupe du garde. (voyant le regard désapprobateur de Michael) Quoi ? Tout ira bien Michael ne t’en fais pas pour moi je…

Soudain un bruit violent et sourd retenti dans la cour. Je constate que mes mains se sont agrippées plus fermement à celles de Sara, avant que mon bras ne vienne l’entourer comme pour la protéger. D’autres bruits nous parviennent. On entend des cris provenant des prisonniers, et des armes à feu qui explosent. Je m’approche doucement de la fenêtre, ordonnant à Sara de rester où elle est. C’est la débandade dans la cour, les détenus s’agitent et se bâtent violemment contre plusieurs gardes. Je comprends que la situation est devenue dangereuse pour Sara et il faut que je la sorte de là le plus vite possible.

S : Michael qu’est ce qui…
M (inquiet) : Je ne sais pas mais il faut que tu sortes d’ici au plus vite.

Je la prends par la main et j’ouvre la porte de l’infirmerie. Les deux gardes qui restent postés à l’entrée en temps normal ne sont plus là, certainement attirés par le vacarme qu’il y a en bas. Je regarde autour de moi et ne vois personne, je l’entraine alors vers le bout du couloir pour la faire sortir le plus rapidement possible. Nous arrivons à une porte, mais celle-ci est fermée. J’ai beau tirer de toutes mes forces, elle ne cède pas sous mon impulsion et les nombreux coups que je lui inflige.

S : Ca ne sert à rien Michael, il faut passer par en bas.
M : Mais tu as vu comme moi ce qu’il y a c’est beaucoup trop dangereux.
S : Michael c’est la seule solution.

Je prends une profonde inspiration avant de poser mes mains contre mes tempes essayant de réfléchir à un moyen plus sûre pour sortir d’ici. La tension est à son comble. Mes mains sont moites et je sens quelques perles de sueurs ruisseler sur mon front. Je la regarde comprenant qu’elle a raison puis j’attrape sa main avant de me diriger rapidement vers l’escalier qui conduit au rez-de chaussé.

Nous marchons rapidement essayant de passer inaperçu. Ici la guerre entre les détenus et les gardes fait rage. Ils se sont tous réunis dans un bain de sang monstrueux. Beaucoup d’entre eux sont déjà mort et dans les deux camps. Nous continuons notre chemin et je ne lâche pas une minute la main de Sara.

Alors que je suis occupé à regarder Sara par-dessus mon épaule pour voir si tout va bien, je vois son visage changer, elle devient plus pâle et prononce mon nom inquiète alors que je suis stoppé net par un corps qui s’étend devant moi. Lechero, Sammy, T-Bag et toute la bande s’opposent à nous. Je peux lire sur le visage de Lechero un sourire narquois alors que je vois ces acolytes nous encercler peu à peu.

L : Alors Superstar, on va quelque part ?
M (se rapprochant de Sara tout en soutenant le regard de Lechero) : …
L (ironique) : On a appris que tu te faisais plaisir avec cette pute, (s’énervant) mais il me semble t’avoir dit qu’ici tout devait passer par moi.
S (criant agrippée par un détenu) : Michael !

Ils me l’ont arrachée de force et deux d’entre eux la retiennent posant leurs sales pates sur son corps. Je tente de me défendre du mieux possible pour la reprendre contre moi, mais deux autres détenus m’ont empoigné fermement et Sara se retrouve bientôt avec un couteau sous la gorge.

M (hurlant à Lechero): Elle n’a rien à voir dans cette histoire. Relâchez là !
L : Oh mais au contraire Scofield, elle à un rôle capital puisque notre but c’est de te mettre à terre, de te faire souffrir et que tu ne te relèves plus jamais. Alors ne t’inquiète pas, je serai très doux avec, je vais bien m’occuper d’elle. Une fois que j’en aurai assez, mes hommes pourront jouer un peu avec, puis je lui trancherai rapidement la gorge afin qu’elle ne souffre pas et la dernière chose qu’elle verra se sera tes yeux remplis de larmes par ton impuissance à ne pas pouvoir la sauver.

J’ai l’impression d’avancer au ralenti, je vois Sara se débattre furieusement et crier de toute ses forces sur ma gauche, alors qu’à droite c’est toujours la cohue dans la cour. J’aperçois au loin Mahone qui a repéré que nous étions en difficulté et s’approche de nous. Mais il est stoppé dans sa marche, par un individu, je n’arrive pas à voir qui se trouve derrière lui submergé par la confusion dans laquelle je me trouve. Je le vois doucement tomber sur le sol dans un nuage de poussière, terrassé par un cri de douleur. Petit à petit, une marre de sang vient recouvrir son corps inerte.

Je me retourne à nouveau vers Sara alors qu’une angoisse monte furieusement en moi, se transformant de plus en plus en une rage terrible qui prend possession de mon corps et de mon esprit. Ils essaient de l’emmener mais elle résiste. Soudain j’entends un cri venant de la court, je me retourne et vois Mac Grady affolé qui se précipite pour nous aider.

L : Oh mais on dirait que la famille est au complet. (criant aux hommes qui emmènent Sara) Ramenez-là, j’ai une meilleure idée. (se tournant vers Michael) regarde moi bien Superstar, je t’offre une chance de sauver l’un des deux, maintenant c’est à toi de choisir. Lequel veux-tu sauver ou en d’autres termes, lequel veux-tu voir mourir ?

Ma cage thoracique se soulève à une fréquence impressionnante sous l’impulsion de ma respiration qui s’accélère. Je sens une vague de chaleur monter en moi et prendre possession de mon corps. Mes yeux sont de plus en plus embués par les larmes qui m’inondent alors que je regarde Mac Grady désolé. J’essai de trouver un moyen par lequel je pourrai sauver les deux. Je ne veux pas perdre Sara, mais je ne peux pas laisser mourir Mac Grady. Il faut que je trouve quelque chose, je dois trouver quelque chose. Mon crâne me fait un mal de chien alors que je n’ai aucune réponse à apporter.

L (aux hommes qui retiennent Sara) : Tuez la fille.
M (hurlant) : NON !
L (faisant un geste de la main pour stopper l’homme auquel il vient de donner un ordre et jetant un coup d’œil vers Sammy) :…

D’un mouvement rapide, Sammy s’approche de Mac Grady un couteau à la main lui tranchant la gorge alors que celui-ci à ses yeux perdus dans les miens et qu’il me regarde comme un enfant terrorisé. Il tombe sur le sol, gisant la gorge ensanglantée, les mains contre sa plait souffrant atrocement. Sara se jette sur lui pour tenter de le sauver alors que les hommes qui la retenaient l’ont lâchée. J’accours vers lui à mon tour alors que le groupe s’éloigne de nous. Sara me demande d’appliquer mes mains sur sa carotide afin d’arrêter l’hémorragie, mais celle-ci est trop importante, et Mac Grady perd des litres de sang. Il prend ma main et la sert fort pour essayer de se retenir et de rester dans ce monde, mais il s’affaiblit de plus en plus. Sa gorge le fait souffrir mais il tente d’émettre quelques sons que je ne comprends qu’en m’approchant de son visage.

MG (chuchotant) : Elle en valait vraiment la peine.

Puis dans un dernier soupire, il s’effondre dans mes bras. Je le prends alors contre moi, son sang se déversant sur mon tee-shirt et mes larmes coulants sur son visage. Sara assiste immobile et impuissante à mon désarroi.
Subitement, je sèche les larmes qui sont aux creux de mes joues, laissant des empreintes ensanglantées au passage, puis je me relève, fou de rage et n’aspirant qu’à une seule chose, exprimer toute la colère qui est en moi.

Je me dirige furieusement vers Sammy, le frappe violemment dans le dos et celui-ci tombe sur le sol. Sans pouvoir m’arrêter j’accumule les coups, je le frappe au visage, à l’estomac de nombreuses fois. Lechero s’interpose et essai de le défendre mais il est stoppé par T-bag qui vient le poignarder le long de la colonne vertébrale. Pendant plusieurs secondes, à bout de souffle je le regarde, et je comprends le sourire qu’il affichait la veille, un sourire que je croyais contre moi mais qui en fait reflétait la trahison qu’il s’apprêtait à faire à Lechero.

T-Bag (chantant à l’oreille de Michael avant de partir) : Celui qui tue le roi, prends son trône mon joli.

Je me retourne à nouveau vers Sammy, lui arrachant le couteau qu’il a utilisé quelques minutes plus tôt et je lui fais subir le même sort que Mac Grady. Des coups de feu retentissent dans la prison, les renforts des gardes arrivent enfin. Je sens une main me prendre le bras. Je me débats d’abord violemment avant de voir qu’il s’agit de Sara qui m’attire vers elle. Avant que les gardes n’entrent dans Sona, elle m’amène jusque dans l’infirmerie où nous nous retrouvons seuls à nouveau.




bon voilà... j'espère que vous n'êtes pas trop triste pour mac grady que j'adore mais que j'ai décidé de sacrifier pour explorer quelque chose de plus sombre chez le personnage de michael. j'ai donc essayer au cours des dernières suites de les faire se rapprocher tous les deux. quant à michael, je sais pas si ça se remarque mais en fait je voulais montrer combien sona avait eu une influence sur lui, combien sona l'avait fait changé. la peur qu'il contenait s'est changée en rage et cette rage lui a fait commetre des actes irréparables pour bien montrer que le dark michael était possible même avec une sara vivante dans la saison 3 (c'était ma petite vengeance aux scénaristes parce qu'il ne faut pas oublier qu'au moment d'écrire, sara était toujours morte !!)

bon dites moi ce que vous en pensez, même si ça ne vous a pas plus...

AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH OMG

je suis sous le choc mais sous le choc, cette suite est wouaw, mon coeur balttait aussi fort que celui de mike autant pendant son petit moment avec Sara, autant le moment ou mc grady meurt... et plus je lisais, plus j'avais peur..... Attends faut que je me calme.... j'ai de ces bouffées....

pour Mc Grady, je suis trop dégoutée mais je comprends ce que que tu as fait (par rapport à ton explication à la fin)

je t'aurais bien demandé une suite mais je vais attendre demain.... faut vraiment que je me reprenne, je voulais te dire pleins de choses mais je n'y arrive pas, je suis dans tout mes états.. j'ai du mal à comprendre pour certaines personnes ont arrêté de lire ta fic...


à demain pour la suite..

bin ça leur plaisait peut être pas que michael tue quelqu'un... disons que je leur ait pas demandé, j'ai juste remarqué une baisse de fréquentation de la lecture à ce niveau.

oui ben moi je susi encore la, et je n'ai pas l'intention d'arrêter, je suis fan..... ya beaucoup de scène que j'aurais voulu voir dans la série.

merci c'est gentil et ça me fait très plaisir !!

Comme d'habitude j'arrive après la guerre ...

Je suis désolée Milii, j'sais pas pourquoi je ne vois pas le bouton "new" quand tu postes une suite ... M'énerve

Breeef, encore une fois, magnifique chapitre, tout en suspens c'était Ouaa !! Surtout la scène avec Sara qui se fait chopée par les détenus, purée, j'ai cru qu'elle allait y passer moi

Et puis McGrady C'est super triste mais en même temps c'est vrai que ça a permis de voir "Dark Michael", et je trouve que tu as très bien fait ressortir le fait qu'il a été changé par Sona, que ce n'est plus le même .. La preuve, il a flingué Sammy

Je trouve ça super agréable de voir une autre facette de Michael, vraiment bien joué Milii, j'attends la suite avec impatience !!!!!! (*va cliquer sur le bouton "surveiller le sujet" * )

Nickki a écrit:

(*va cliquer sur le bouton "surveiller le sujet" * )

J'allais te dire de le faire lool

en passant, moi je suis prête pour une suite today...

coucou et merci pour ces coms !!
bon voilà la suite. si j'appréhendais à l'époque de poster la suite précédente, ça n'a rien avoir avec celle-ci c'était encore pire !! c'était LA scène que j'avais en tête depuis un moment dans le train où en écoutant fix you tout m'était venu... et donc là voilà. j'espère que ça vous plaira. elle est assez longue je crois (comme la totalité du chapitre).




(Dans l’infirmerie : pensées de Sara et Michael)
https://www.youtube.com/watch?v=k34B00Yonm0
vidéo assez original !!

Les bruits provenant de la cour résonnent encore fortement à mes oreilles. La situation à l’air de se calmer peu à peu, les gardes reprennent le control de Sona. Je tente de reprendre mes esprits et d’essayer de respirer calmement. Tout est allé si vite. Je ne suis même pas sure d’avoir compris ce qu’il se passait, je ne suis même pas sure d’avoir été témoin de tout ça. Peu à peu les images me reviennent en tête, et je fini par ne voir qu’une chose : Michael couvert de sang, fou de rage en train de tuer violemment l’un des détenus. J’avale difficilement ma salive portant mes mains à mon crâne, frottant ma tête comme pour évacuer toutes ses images de mon esprit.

Michael est à quelques mètres de moi, accoudé à la table d’auscultation et me tourne le dos. Un silence pesant s’est installé entre nous, et reflète encore davantage la distance qui nous sépare l’un de l’autre. Je n’entends que sa respiration, forte et saccadée. Ses poings sont serrés contre la table, son corps tout entier est marqué par la tension du moment que nous venons de vivre.

Je regarde autour de moi essayant de raccrocher mes yeux à quelque chose de concret, mais je suis perdue, choquée. Je ne sais pas ce que je dois faire, comment je dois réagir. Puis tout à coup tout devient plus clair : qu’importe ses gestes et ses actions, j’aime cet homme et je l’aiderai à s’en sortir. Je prends une profonde inspiration et je dégluti avant de briser le silence qui nous entoure.

S : Michael ?

Aucune réponse ne me parvient de son côté, au contraire j’ai l’impression que sa respiration s’est accélérée, qu’il n’arrive pas à se calmer, à reprendre contrôle. Je m’avance d’un pas hésitant ne sachant pas vraiment comment m’y prendre, puis je viens poser ma main délicatement contre son épaule gauche.

M (murmurant et dans un mouvement de recule) : Lâche-moi.
S : Michael…
M : Sara je… ne me touche pas.

Elle fini par retirer sa main de mon épaule. Je peux sentir même sans la regarder que je lui ai fait de la peine mais je ne veux pas qu’elle s’approche de moi, je ne veux pas qu’elle me touche. Je sens que cette vague immense de rage qui m’habite n’est pas prête de partir. Elle me consume de l’intérieur et détruit chaque parcelle de mon corps et de mon âme. Elle m’a fait commettre la plus horrible des choses. En tuant Sammy j’ai atteint un point de non retour et je ne veux pas entrainer Sara avec moi là dedans.

Je tente de résister et de lutter contre cette sensation qui m’envahit mais je n’y arrive pas. Je suis crispé prêt à bondir sur la moindre chose qui passerait devant moi. Je sais que ce que j’ai fait est mal et pourtant je n’hésiterai pas à recommencer. Des images de Mac Grady, son regard avant de mourir, me reviennent en tête et me hantent. Je ne peux pas croire qu’à cause de moi on lui ait pris la vie. Je lui avais promis tant de choses en l’invitant à partir d’ici avec nous, je lui avais promis un avenir loin d’ici où il aurait pu grandir, devenir un homme et retrouver sa famille, un futur sans problème où il aurait pu découvrir le monde qui l’entourait. Mais au lieu de ça j’ai détruit tout ce en quoi je lui avais fait croire, j’ai détruit toutes les espérances qu’il avait construite en ne lui sauvant pas la vie.

Je suis troublée par ses paroles, je me recule et je sens des larmes envahir mes yeux. Une énorme boule d’angoisse vient se loger au plus profond de ma gorge à mesure que je me retienne de pleurer. Mes doigts viennent recueillir quelques larmes trop lourdes qui coulent sur mes joues. J’étouffe un sanglot pour que Michael ne m’entende pas pleurer. Je me recule de quelques mètres, je suis sur le point de partir sans vraiment savoir où aller, puis je me ravise, l’une des phrases de Michael me revenant à l’esprit. « Tu es une femme forte Sara. Promets-moi de rester forte, fais le pour moi Sara ».

Cette phrase qu’il avait prononcée dans le fourgon alors que nous arrivions au commissariat, résonne comme un écho dans ma tête. Je me redresse et je ressens cette force, dont me parlait Michael, inonder tout mon corps. Je me positionne à ses côtés posant ma main sur la sienne, l’agrippant de toutes mes forces, déterminée à ne pas la lâcher.

M (s’énervant) : Sara…
S : Non Michael, je ne te lâcherai pas. Je reste ici à tes côtés et je ne partirai pas tant que tu n’iras pas mieux.

Il essai de se débattre mais je garde sa main dans la mienne, le forçant à se positionner face à moi. Il me regarde droit dans les yeux, me fixant d’une manière que je ne connaissais pas jusqu’alors. Il est furieux, respire à une allure folle comme si ses poumons étaient comprimés à l’intérieur de sa cage thoracique. Mes yeux sont attirés vers son tee-shirt immaculé de sang. Pendant plusieurs secondes je ne peux me détacher de cette vision pensant sans cesse à ce qu’il a fait, avant de me retrouver encore une fois dans les yeux de Michael.

Elle a baissé les yeux alors que je l’ai surprise fixant mon tee-shirt couvert de sang avec une expression de dégout sur le visage. Je la dégoute, je le sais. Je ne suis qu’un monstre pour elle. Elle ne devrait pas s’approcher de moi, c’est beaucoup trop dangereux, je suis beaucoup trop dangereux. J’ai trop peur de lui faire du mal. Je tente vainement de retirer ma main, mais elle s’agrippe à moi fortement, son regard me faisant comprendre qu’elle n’abandonnera pas si facilement. Pourtant je veux qu’elle me laisse, je veux qu’elle parte, qu’elle s’en aille loin de moi, loin du monstre que je suis devenu. A nouveau j’entreprends de retirer ma main, je me recule mais elle insiste. Elle a une volonté de fer et tellement de force à ce moment précis alors que moi je me sens si faible, la colère me ronge et aspire littéralement toute l’énergie qui est en moi.

Je le sens faiblir, peu à peu il se laisse aller, il me laisse faire sans chercher à tout contrôler. Nous sommes face à face à quelques centimètres de distance. Mes yeux sont rivés sur sa poitrine non pas que je sois encore attirée par l’énorme tache rouge qui s’est répandue sur ses vêtements, mais simplement parce que mon regard est attiré vers son cœur. Cet endroit sur lequel j’avais posé ma main quelques minutes plus tôt, l’endroit où réside encore j’en suis certaine, le véritable Michael Scofield, doux, attentionné, charmeur et toujours prêt à aider les autres. Je suis sure qu’il est toujours là, caché quelque part sous ses vêtements.

Je lève les yeux quelques secondes vers lui, ils sont embués mais il continue de me fixer avec toute la rage et la peur qui se trouvent en lui. Sans le quitter des yeux un instant, j’appuie ma main contre son cœur. Il palpite, je peux sentir ses battements vibrer à une allure folle sans vraiment de difficulté.

M (se reculant enfin en réunissant le peu de force qui lui reste) : Vas t’en. Ne t’approche pas de moi Sara. Je ne veux pas te faire de mal.
S (s’approchant de lui pour ne pas laisser de distance entre eux) : Tu ne me feras pas de mal Michael.

Je n’en peux plus, je ne peux pas croire qu’elle soit toujours là après ce que j’ai fait. Comment peut-elle encore supporter d’être près de moi alors que je déteste chaque parcelle de mon être. Je tente de reculer mais à chaque pas que je fais vers l’arrière, elle en fait deux en avant pour se retrouver toujours plus près.

M : Comment peux tu rester là avec moi alors que je te dégoute ?
S : Tu ne me dégoute pas Michael.
M : Et pourtant tu devrais parce que je me dégoute moi-même.
S (posant la paume de sa main sur la joue de Michael pour venir recueillir l’une de ses larmes) : …
M : J’aurais pu le sauver Sara, j’aurais dû le sauver.
S : Tu as fait tout ce que tu as pu Michael.
M : Non… il a perdu tout espoir à cause de moi.
S : Mais tu l’as entendu Michael, il ne t’en voulait pas.
M : Tais toi, (criant) TAIS TOI !! (regardant ses mains) je l’ai tué, je l’ai tué…

Il fixe ses mains tremblantes et couvertes de sang. Je tente de les reprendre à nouveau au creux des miennes, mais il m’en empêche et continue de les regarder sans arrêter en répétant tout le temps les mêmes mots : « je l’ai tué, il a perdu tout espoir à cause de moi ». Je me recule en direction de l’évier, prends une bassine, la rempli d’eau et reviens vers Michael avec une serviette posée sur mon bras. Délicatement, je prends ses mains dans les miennes, alors qu’il est perdu dans son délire et je commence à les nettoyer, à retirer tout le sang qui s’y était accumulé. Je fais de même avec son visage, puis doucement je lui enlève son tee-shirt cherchant à détruire les moindres molécules de sang sur son corps.

Perdu un instant, je n’avais pas remarqué les gestes de Sara. Cela me fait tellement de bien, elle me fait tellement de bien mais j’ai si peur de la blesser que je ne préfère pas la laisser m’approcher, et dans un mouvement vif je me recule violemment.

M : Ne me touche pas. Comment peux-tu me toucher, je suis un monstre.
S (passant sa main sur le visage de Michael mais celui-ci la rejette à nouveau) : Non tu n’es pas un monstre.
M (en pleure) : Comment peux-tu vouloir être près de moi après ce que j’ai fait ?
S : Michael, je te l’ai dit je ne partirai pas et non tu ne me dégoute pas.
M : Vas t’en.
S : J’ai tué un homme moi aussi dois-je te le rappeler ?
M : Vas t’en.
S : Tu ne m’écœure pas, j’ai toujours autant envie de toi, envie d’être avec toi, d’être dans tes bras car c’est le seul endroit où je me sente bien. Tu m’as dis que j’étais une femme forte Michael et c’est vrai, mais seulement grâce à toi. Sans toi je suis perdue. Sans toi je ne suis plus rien, je ne suis que l’ombre de moi-même, une simple junkie accro à la morphine. Tu es ma raison d’être Michael, ne m’abandonne pas…
M : VAS T’EN.

Je n’en peux plus, j’essai par tous les moyens de le faire reprendre conscience et j’ai bien l’impression que si je n’y arrive pas rapidement je l’aurai perdu à jamais, alors dans un mouvement de dernier recours, je le gifle fortement au visage, il se tait, ébahi.

Puis soudain je suis prise par une folle envie, celle de le toucher, d’être auprès de lui, contre lui pour lui montrer à quel point je l’aime, à quel point j’ai besoin de lui et à quel point il ne me dégoute pas, alors presque trop violemment je le pousse contre le mur et vient poser mes lèvres sur les siennes auxquelles il ne résiste pas longtemps.

Notre baiser s’intensifie de plus en plus. Nos langues chaudes et mouillés se rencontrant sensuellement et même brutalement à cause de tout ce que nous contenons l’un et l’autre. Michael descend ses mains le long de mon dos, pour arriver jusqu’à mes cuisses avant de passer sous mes fesses, puis dans un mouvement soudain, il me soulève, me transportant jusqu’à la table d’auscultation sans briser notre baiser un seul instant.

Je ne sais pas ce qui m’arrive, toute la haine et la peur qui m’enveloppaient se sont soudainement transformées en passion et fougue sous l’impulsion des baisers de Sara. Je n’ai plus qu’une envie, me perdre en elle complètement, oublier tout ce que s’est passé, sentir la chaleur de sa peau contre la mienne. Je passe alors mes mains délicatement sous son haut alors qu’elle me caresse la nuque et le dos, puis je le lui retire. Je la regarde un instant tentant de récupérer mon souffle, mais elle reprend très vite mes lèvres. D’abord, venant mordiller la lèvre inférieur, avant d’engouffrer à nouveau sa langue dans ma bouche.

Je sens sa peau brûlante contre la mienne, me procurant encore davantage de sensations. Ma tête tombe en arrière alors que Michael s’est acheminé à m’embrasser sensuellement du haut du cou à la naissance de ma poitrine laissant des trainées humides sur chaque coin de ma peau par lequel il passe, me procurant une immense vague de chaleur que je sens monter en moi. Passant à nouveau ses mains sous mes cuisses, il m’attire à lui, me faisant glisser contre le tissu de la table.

Mon désir est de plus en plus fort, je n’ai plus envie que d’une seule chose, je n’ai plus envie que d’elle. Mes mains passent le long de son soutien-gorge, jouant à nouveau avec lui comme je l’avais fait la dernière fois pendant que Sara me lèche délicatement le dessous de l’oreille droite, déclenchant en moi un léger soupire qui la fait rire délicatement et qui me fait frémir encore davantage.

Je suis sur le point de déboutonner son jean quand je l’entends frissonner de plaisir à son tour. Je passe délicatement ma main au creux de son bas ventre lui arrachant un gémissement.

S (dans un murmure) : Michael

J’ai chaud. Je bouillonne. Je n’ai qu’une envie le sentir en moi, sentir notre désir grandir encore. J’ouvre délicatement les yeux, la chaleur qui règne dans la pièce à recouvert les vitres de buée et je sens une goutte de sueur couler le long de ma colonne vertébrale, me provoquant encore plus de sensations.

Soudain, un coup de feu retenti dans la cour, nous faisant revenir à la réalité que nous avions oublié dans les bras l’un de l’autre. Essoufflés nous nous regardons intensément, en redemandant encore et encore mais nous savons tous les deux qu’il nous est impossible de continuer. Doucement Michael passe ses mains sur mes hanches et vient me poser un simple baiser sur le front, me faisant froncer les sourcils de frustration.

Encore une fois, nous étions sur le point de faire une bêtise. Oui j’ai envie d’elle mais non pas ici pas dans cette prison et avec ce qui vient de se passer ce n’est pas le moment, alors je m’écarte d’elle peu à peu, étant capable de l’embrasser uniquement sur le front par peur de n’écouter que mes pulsions encore une fois qui ne demande qu’à découvrir entièrement le corps de Sara Tancredi.

M (se déplaçant jusqu’à la fenêtre) : Ils vont venir te chercher maintenant que tout est revenu en ordre.
S (n’en revenant pas du changement soudain de comportement de Michael) : …

Je lui rends son tee-shirt puis je prends le mien, le regardant hésitant une seconde avant de le mettre. Puis décidé à en changer une fois dans ma cellule, je le passe par-dessus ma tête. Alors que l’un des gardes arrive en courant dans la salle. Sara reste sans voix puis fini par le suivre jusqu’en dehors de la prison. Alors qu’elle est déjà partie et qu’elle ne m’entend plus je me surprends à lui chuchoter quelques mots.

M : A demain Sara. T’aimer est la plus belle chose qui me soit arrivée mais je veux que tout soit parfait pour la plus parfaite des femmes.




bon voilà. j'espère avoir choqué personne avec le changement de personnalité soudain de michael, mais c'est pour exprimer à quel point ils ont une influence comme personne et puis il ne faut pas oublier la tension sexuelle qui flotte autour d'eux depuis tout ce temps... bref dites moi tout, vous avez aimé ? vous avez pas aimé ??? allez y commentez !!!

Les smileys, ces choses si rigolotes et si utiles quand les mots nous manquent ...









Alors. Malgré le fait que ton chapitre, ton merveilleux chapitre m'est laissée complètement sur les fesses (j'suis quasiment TOMBÉE de ma chaise là ), je vais essayer de traduire ces smileys par des mots. lol.

Alors lui :

: c'est parce que OMFG !!!! J'adore toujours autant tes descriptions. La folie de Michael, enfin, la folie qui le guette, toute cette colère, cette peur d'avoir tué un homme, d'avoir vu MacGrady mourir ... Qui se change en une passions intense ... C'était ... wow !! Et pour ma part, je n'ai pas du tout été choquée, loin de là

Lui :

: Parce que c'était prodigieux, parce que j'admire énormément ton talent, ce petit truc qui fait qu'on est à fond dedans et qu'on est bien frustré en arrivant au bout ...

Lui :

: Parce que la scène entre Mike et Sara était ..; Époustouflante. Tout la rage de Michael s'est transformée, et c'était justement !!!!

Et enfin parce que ...

A QUAND LA SUIIITE ???????

merci beaucoup. tu t'imagines pas comme ça me fait plaisir.
bon aller on enchaine avec la dernier suite de ce chapitre assez lourd en émotions (et c'est pas fini...) bonne lecture !!





(Pensées de Sara uniquement)


Je suis confuse. Mon corps avance dans les couloirs de Sona qui sont à présent très silencieux, mais mon esprit est resté dans cette pièce avec Michael, avec ses baisers, ses caresses et ses gestes tendres et passionnés à la fois. J’ai tellement envie de lui à cet instant que je ne peux me défaire de ces pensées. Deux gardes armés m’encadrent, l’un d’eux essai vainement d’articuler quelques mots mais je ne les saisis pas, je suis ailleurs, en transe.

Soudain, mon regard est attiré vers la cour de Sona à ma gauche. Sans m’en rendre compte je me suis arrêtée à la vue de la scène qui se déroule sous mes yeux. Cette petite place est couverte de corps et de sang. Parmi eux, je vois ceux sans vie du jeune garçon que Michael a tenté de sauver, celui de l’homme qu’il a tué ou encore celui de cet agent du FBI qui nous a poursuivi à Gila. J’aperçois aussi les corps de plusieurs gardes qui sont tombés durant cette bataille. La plupart des détenus sont retournés dans leurs cellules tandis que d’autres sous les ordres des gardes s’appliquent à rassembler les corps. Je reste là, immobile inerte et choquée de voir ainsi tant de morts. En tant que médecin j’aurai certainement dû agir ou tout au moins réagir, voir s’il y a des survivants, mais j’en suis incapable. Je reste plantée là sans pouvoir bouger, une énorme boule venant se serrer dans mon ventre.

G : Vous ne pourrez plus venir pour vos visites médicales. Regardez ce qui leur arrive quand une femme entre dans Sona.

Je tourne alors vivement la tête vers le garde qui a prononcé ces mots. Je mets quelques secondes avant de saisir ce qu’il vient de dire et de pouvoir lui répondre.

S (choquée) : Je… je n’ai rien fait…
G : Vous n’auriez jamais dû venir ici.
G2 : Anda !

L’un d’eux me regarde comme si j’étais l’unique responsable de cette émeute et l’autre me tire par le bras et me demande d’avancer. Je suis passée d’un état de manque physique et sexuel, au dégout de voir tant de morts étalés sur le sol crasseux de la cour de Sona, à la stupéfaction de ce que ce garde ma dit en moins de quelques minutes et s’en est trop pour moi. Je me retiens difficilement d’éclater en sanglots et je fini par avancer pour sortir au plus vite de cet endroit.

Une fois sortie, je marche le plus vite possible pour rejoindre la voiture et retrouver Lincoln qui m’attend comme à son habitude. En me voyant arrivé, il accourt vert moi inquiet mais soulagé que je sois enfin là.

L : Sara, mais que s’est-il passait là bas ? J’ai entendu des coups de feu. J’ai voulu aller te chercher mais les gardes m’en ont empêchés. Est-ce que tout va bien ? Tu es très pale.
S (le regard perdu dans le vide) : Je… heu je, je vais bien. Il y a eu une émeute…
L (inquiet) : Tu n’es pas blessée au moins ?
S (levant les yeux vers Lincoln) : Non… non je vais bien.
L : Et Michael ?
S : Il va bien. Je ne pourrai plus y aller après ce qu’il vient de se passer.
L (regardant en direction de Sona): Tout est prêt, on a plus besoin que tu ailles là dedans. Je devrais peut être allé voir l’un des gardes pour savoir ce qu’il se passe exactement et si Michael va bien. (baissant les yeux à nouveau sur Sara) Tu es sûre que tout va bien Sara ?
S (jouant nerveusement avec ses mains tout en les fixant): Je… oui est ce qu’on pourrait juste rentrer à l’hôtel.
L (confus) : Heu… oui si tu veux. Je reviendrai ici après t’avoir déposé.


https://www.youtube.com/watch?v=tsgssfjqA0k


Le trajet dans la voiture est silencieux. Je suis incapable de prononcé le moindre mot, j’ai la nausée et je n’ai qu’une envie, me plonger dans les bras protecteur et rassurant de Michael. A plusieurs reprises Lincoln à tourné furtivement la tête vers moi. Je vois bien qu’il se fait du souci pour moi, mais à présent je n’ai aucune envie de parler, je veux juste rentrer. Je vois le paysage panaméen défiler sous mes yeux rapidement, ce paysage que je commence à connaître par cœur refaisant quotidiennement le même chemin.

J’ai l’impression d’être prisonnière de mon corps, je ne peux bouger, je ne peux parler et je voudrais tellement pouvoir crier pour extérioriser tout ce qui se trouve en moi. Je sens quelques larmes arriver au coin de mes yeux Je les laisses coulées délicatement le long de mes joues alors que je clos mes paupières dans l’espoir de quelques secondes de répit. Je sens le regard inquiet de Lincoln glisser sur moi. Il a vu mes larmes mais ne cherche pas à essayer de comprendre ce qu’il se passe, il a bien vu que je ne suis pas en état pour le moment.

A notre arrivée à l’hôtel, nous passons voir quelques minutes Sucre pour lui raconter ce qu’il s’est passé. Je réponds le plus brièvement possible aux questions que l’on me fait et prétextant une fatigue subite, je me réfugie rapidement jusqu’à ma chambre. Une fois la porte close, je me retrouve seule avec de nombreuses images défilants dans ma tête, celles de tous ces hommes morts cruellement. Je baisse les yeux et je remarque que moi aussi je suis couverte de sang, probablement celui de ce jeune homme que je n’ai pas pu sauver. Je me sens tellement sale. J’ai l’impression que mon corps entier est sale mais que mon esprit l’est lui aussi. Il est souillé par le nombre de mort que je vais devoir porter sur la conscience et je me sens tellement mal d’avoir été ainsi avec Michael alors qu’à l’extérieur des hommes s’entretuaient.

Avec une rage folle et des larmes qui commencent à couler sur mes joues, je me précipite vers la salle de bain. Je me débats avec mes vêtements pour les enlever le plus vite possible, mais mes mains tremblante ne me facilitent pas la tâche alors je panique encore plus. Je reste de longues minutes sous la douche, frottant le plus possible ma peau afin d’extraire toutes les horreurs qui se trouvent en moi. Mes mouvements sont violents et me font mal mais je veux à tout pris que ce sentiment de dégout s’en aille. Je frotte encore et encore, toujours plus vivement mais rien n’y fais et je m’effondre dans ma douche. Assise contre le carrelage dur et froid et recroquevillé sur moi-même, je pleure toutes les larmes de mon corps.

Voilà plusieurs minutes que je suis ainsi, je ne sais pas combien de temps exactement. Je n’ai pas bougé d’un centimètre. Je me sens toujours aussi sale mais mes larmes ont fini par cesser comme si je les avais toutes épuisées. Je me sens faible. Je lève mon bras afin d’arrêter l’eau puis je prends mon peignoir et je fini par sortir de la douche. Je me place face au miroir complètement embué. Je le frotte et j’aperçois mon visage. J’ai les yeux bouffies et rougies par tant de larmes, d’énormes cernes et une mine des plus tristes. A travers le reflet j’aperçois derrière moi la trousse médicale qui m’avait servit pour soigner Sucre. Je me regarde un court instant à nouveau comprenant que je me dégoute toujours autant puis je me retourne rapidement, j’ouvre la trousse et j’en sors une seringue et une fiole de morphine. Je prépare l’injection et j’enserre un lien de caoutchouc autour de mon bras afin d’injecter le produit au plus profond de mes veines. Je suis sur le point d’appuyer sur la seringue mais je m’arrête une seconde et me regarde à nouveau dans le miroir.

D’autres images défilent à nouveau dans ma tête. Cette fois elles ne sont pas faites de morts et de gens tués dans d’horribles conditions, je ne pense en réalité qu’à Michael, au jour où nous nous sommes rencontrés, à la première fois qu’il m’a embrassé, à nos retrouvailles à Gila, à notre baiser dans le train ou encore à la façon dont il m’a pris dans ses bras en me voyant près du bateau. Je dégluti difficilement, et je pousse un énorme cri en jetant la seringue loin de moi et en cassant la fiole de morphine que je tiens dans mes mains contre la paroi du lavabo.

Lincoln et Sucre arrivent affolés dans la salle de bain certainement attirés par le cri que j’ai poussé quelques secondes plus tôt. Ils me retrouvent en larmes assise dans un coin, la main ensanglantée. Lincoln s’assoit à mes côtés me prenant dans ses bras, et contre son torse je relâche toutes les larmes de mon corps, alors que Sucre s’applique à retirer les morceaux de verre au creux de ma paume et à me bander la main.

Après quelques minutes, j’ai finalement réussi à me calmer. Nous sommes tous les trois assis contre le carrelage glacé de la salle de bain. Pas une seconde je n’ai lâché l’étreinte de Lincoln.

L : Tu devrais dormir un peu Sara. Tu dois être fatiguée et demain sera une grosse journée.

Je les regarde chacun l’un après l’autre, inquiets. Je leur sourie légèrement pour leur montrer que je me sens mieux puis je consens à aller me reposer quelques heures. Lincoln me porte jusqu’à mon lit alors que Sucre pose les couvertures sur moi voyant que je suis frigorifiée malgré la chaleur panaméenne. Calmée et soulagée, je finis par m’endormir rapidement et je plonge dans un sommeil plus que réparateur.




une note de fin de chapitre vite fait, j'adore jouer avec le thème du miroir qui est révélateur de beaucoup de chose par rapport aux personnages, il y aura d'autres scènes du même genre d'ailleur !!!

Alors oui moi j'ai aimé,

Et franchement et encore plus aimé ce revirement de situation, la rage de mike face à la patience et la crainte de Sara et puis tout ça qui devient une passion sans limite et voila qu'un simple coup de feu, retourne la situation une troisième fois dans le calme.

Et alors la dernière phrase, trop belle venant de Mike pour Sara (oui parce si c'était ailleurs, je l'aurais trouvé banale lol).

Edit encore une suite super..

Alors cette suite est superbe, et elle est révélatrice mais pas seulement avec le miroir...

j'aime moi aussi les scènes de miroir, je trouve qu'elles nous montrent exactement qui sont les personnages, enfin le miroir est toujours la pour révéler qui ils sont vraiment. Pour ce qui est de Sara, j'ai eu l'impression que dans un premier temps, il lui a révéler son ancienne vie de junkie et ensuite, lui à montrer ce qu'elle était devenue... et cela dans un but précis, lui faire comprendre la force qu'elle à réussit à accumuler dans toutes les épreuves qu'elle a traversé.

et puis il a deux autres passages que j'ai trouvé révélateurs ceux-la :

Citation :

Après quelques minutes, j’ai finalement réussi à me calmer. Nous sommes tous les trois assis contre le carrelage glacé de la salle de bain. Pas une seconde je n’ai lâché l’étreinte de Lincoln.

Citation :

Lincoln s’assoit à mes côtés me prenant dans ses bras, et contre son torse je relâche toutes les larmes de mon corps,

On découvre alors un Lincoln trés trés protecteur envers Sara, celle qui est devenue la raison de vivre de Mike, et ca il l'a bien compris.

la suite pour demain je pense...

Mein Gott.

Riche en émotions, c'est le cas de le dire

J'ai adoré, non que dis-je, j'ai aimé à la foliie la scène où Sara pète un câble. Pendant un court instant, j'ai eu peur qu'elle ne s'injecte effectivement la morphine (d'ailleurs magnifique chanson de K's Choice, un de mes groupes préféré ^^ ), mais j'ai été soulagé quand elle décide finalement d'évacuer sa rage et son dégoût autrement Ses sentiments sont superbement décrits, c'est un régal à lire. Bravo Milii

merci à vous deux les filles.
oui la miroir révèle la vérité telle qu'elle est réélement sur les personnage et aide sara à prendre conscience de beaucoup de choses sur elle même. à l'époque où j'ai posté cette suite sur undeniable on était partie dans un vrai discours philosophique sur les films où on voyait ce genre de scène et yen a beaucoup. pour moi yen a une révélatrice c'est dans sexe intention (un de mes 5 films préférés) quand sebastian rompt avec annette, et sinon poupi avait pensé à quelque chose de beaucoup plus simple et que tout le monde connait à savoir blanche neige !!!

sinon je trouvais ça important qu'elle brise d'elle même la fiole de morphine et que ça ne soit pas lincoln ou sucre qui le fasse.

et enfin, oui on découvre un nouveau lincoln complètement différent de celui qu'on a pu voir il y a quelques suites alors qu'il l'avait frappé !!!

bon je post dans quelques minutes la suite le temps de la relire !!!! l'évasion approche !!! (donc en gros si je me souviens bien, va y avoir de l'action).

Ah oui, le miroir de blanche neige en effet, très révélateur, par contre pour sexe intention pas vu moi.

Sinon, hier après que j'ai éteints l'ordi, j'ai voulu dire autre chose par rapport au miroir, parce que dans mon poste précédent je disais que le miroir lui montrait qui elle était avant et qui elle est à présent, or après j'ai réfléchi (oui ca m'arrive de temps en temps lol) et alors je me suis dit qu'en faite le miroir la confrontait, elle aujourd'hui avec ce qu'elle était avant, et heureusement, elle a prit la bonne décision en cassant la fiole. Mais ce que j'aurais trouvé encore plus fort dans cette confrontation c'est qu'elle brise la fiole contre le miroir, comme si elle voulait parler à l'ancienne Sara qu'elle y aurait vu à travers...

je ne sais pas si c'est clair ce que je dis....oups...

oui je comprends, et c'est une très bonne idée... bon tanpi lol !!!
sinon je me suis plantée, la suite qui arrive est une des plus pittoyable que j'ai écrit... j'étais pas inspiré dsl, ça se voit d'ailleurs à la quantité écrite... bref faut bien passer par la pourtant pour la suite. c'est à la suivante que ça devient plus drôle (par plus drôle j'entends marrant parce qu'ils sont bien dans la merde).
sinon faut que tu le vois ce film il est génial !! c'est un remake de notre époque des liaisons dangereuses. et pour plusieurs suites qui vont arriver, j'utilise des musiques du film qui sont magnifiques!! (ah ça me fait pensé qu'il faut que je te parle d'atonement, dsl j'ai oublié).




Chapitre 10 : Today

(Le lendemain : pensées de Sara et exceptionnellement Lincoln et une lettre de Sucre)

Ce matin, une autre belle journée s’est levée sur Panama City. Tout paraît calme et serein vu de l’extérieur. Pourtant aujourd’hui c’est le jour J. C’est le jour où Michael et Wistler s’évaderont de Sona et que nous procéderont à l’échange entre LJ et lui.

Dehors tout va bien, pourtant ici dans ma chambre d’hôtel, la tension est à son comble. Il est 15h18, je n’ai pas pu avaler grand-chose tout comme Lincoln et Fernando. Ils sont ici avec moi, Fernando attablé en train de rédiger une lettre quand à Lincoln assis sur le canapé, il zappe l’une après l’autre les chaînes de la télévision, mais je ne suis pas sure qu’il regarde vraiment l’écran, c’est plus devenu une chose à faire pour s’occuper l’esprit jusqu’à l’heure fatidique. L’évasion aura lieu à 18h24 pour être précise et nous partons nous mettre en place à 16 heures. D’ici là, nous n’avons rien d’autres à faire qu’attendre.

Le silence est lourd dans la pièce, parfois nous échangeons de brefs regards et de léger sourires pour tenter de se rassurer les uns les autres, ou peut être nous même. Essayer de nous convaincre que tout ira bien, que l’évasion sera un succès, que Michael ne sera pas blessé, et que l’échange se passera comme prévu en retrouvant LJ sain et sauf.

A mesure que l’heure approche, je sens mon cœur battre toujours plus fort dans ma poitrine. Le temps passe à la fois si vite et si lentement. J’ai l’impression que nous ne sommes pas prêts à faire ça, et pourtant je n’ai qu’une envie, celle de retrouver Michael et de me blottir dans ses bras.

Nous n’avons échangé que quelques mots depuis hier. La plupart du temps des banalités référant au petit déjeuner, à un programme télé trop inintéressant pour vraiment s’en préoccuper mais le seul moyen de conversation que nous ayons trouvée. Parfois, il nous est arrivé de parler de l’évasion, de répéter encore une fois le plan qu’à prévu Michael. Tout doit être précis et effectué à un instant déterminé. Nous n’avons pas le droit à l’erreur. Et puis quelques fois, nous avons mentionné l’émeute de Sona. Nous en avons parlé longuement hier après midi à mon réveil et depuis, nous essayons de ne pas nous y attarder trop longtemps, ils ont bien compris qu’il était pour moi difficile de revivre ce jour même si c’est uniquement en en parlant.

Je me suis beaucoup rapprocher de Lincoln et Fernando ces deux dernières semaines, et même si il y a eu des tensions entre Lincoln et moi, je peux dire qu’aujourd’hui, Michael n’a aucun souci à se faire pour moi, ils sont devenus tellement protecteur qu’il ne peut rien m’arriver. Comme moi, une partie d’eux est loin d’ici et ils ont beau être des hommes, un brin macho parfois, ils ont tous les deux besoins de tendresse et de réconfort, et tous les trois ensemble, nous essayons de combler ce manque.

Il est maintenant 15h27 et nous sommes toujours là tous les trois, chacun dans notre coin à attendre. Je jette un rapide coup d’œil vers Lincoln sur le canapé, constamment en train de zapper d’une main les chaînes télé, de tapoter son genoux de l’autre et de regarder régulièrement l’écran de son téléphone. Je me tourne ensuite vers Sucre, il est plongé dans sa lettre. A voir son visage, il n’est pas difficile de deviner à qui il écrit. Régulièrement il prend des poses réfléchissant et regardant la vue qui s’étend devant lui par la fenêtre la baie de Panama City. Une vue magnifique, et que je contemple pour la dernière fois.



Sara est plongé dans ses pensées, regardant inlassablement par la fenêtre, elle semble tellement sereine, pourtant je sais que ce n’est qu’une façade. Elle a vécu des choses difficiles hier à Sona. J’étais tellement inquiet quand j’ai entendu ces coups de feu. J’ai couru aussi vite que j’ai pu pour atteindre le grillage avant d’être rembarré par les gardes toujours postés à l’extérieur. Je ne pouvais pas imaginer la pensée de savoir mon frère et Sara dans cette prison, confrontés au danger permanant, je ne voulais pas risquer de les perdes, j’ai déjà tellement perdu dans cette histoire.

Un bref instant, un sourire apparaît sur mon visage, c’est presque devenu une habitude à chaque fois que je vois Sara jouer nerveusement avec ses doigts, comme lorsqu’elle est anxieuse. Puis soudain je me rends compte que je suis ridicule et que je fais exactement la même chose en jouant avec la télécommande et en tapotant ma main contre mon genoux.

Voilà trop longtemps qu’on attend. L’espoir est devenu notre principale source de divertissement, et je suis comme un fou ici, immobile et impuissant. Je n’en peux plus d’être loin de mon fils, de l’imaginer seul et apeuré. Certes, il a traversé de nombreuses expériences, douloureuses et tristes pour la plupart et il s’est endurci, mais il n’empêche que c’est toujours un petit garçon à mes yeux, celui qui venait me rendre visite le week-end, et pour qui je faisais des pancakes aux myrtilles. Je l’ai délaissé trop longtemps et pour une fois nous allions enfin pouvoir profiter de notre relation père-fils, apprendre à nous connaître, rire, grandir ensemble et il est hors de question que l’on m’arrache ma Foi, la seule chose en laquelle je crois aujourd’hui : l’espoir de vivre enfin heureux entouré de ma famille.



« Mari cruz, mi amor…

Je suis assis face à la mer qui s’étend dans la baie de Panama City. La vue qui se trouve sous mes yeux est spectaculaire. J’aimerais tant être ici avec toi, mes bras t’enlaçant tendrement et venir de mes mains délicatement caresser ton petit ventre rond. J’aimerai pourvoir vivre chaque étape de cette nouvelle vie qui commence avec toi. Etre à tes côtés pour les fringales nocturnes, sentir ses coups de pieds de futur footballeur contre ton ventre, te tenir la main lors de l’accouchement…

Je regrette tellement de ne pas pouvoir être à tes côtés, mais la vie nous a séparés et tu sais combien il serait dangereux que l’on soit ensemble à nouveau. Je veux le meilleur pour toi et le bébé, et si dans ce cas, ce qu’il y a de mieux c’est être loin de vous, alors se sera difficile, mais je le supporterai. Mais un jour tu verras, nous nous retrouverons, nous serons heureux à nouveau, tous les trois. J’attends chaque jour ce moment avec impatience. L’attente, ici nous n’avons que cela, alors je compterai les jours et guidé par l’amour et l’espoir de vous retrouver je tenterai de survivre loin de vous.

Je t’écris une dernière fois de Panama City mi amor. C’est aujourd’hui que doit avoir lieu l’évasion, notre seconde évasion. Michael a arrangé un plan de géni pour sortir de là avec ce gars, Wistler. J’aurai vraiment aimé que tu ais pu connaître Michael. C’est un homme bon, loyal, honnête et humble, mais surtout il m’a aidé tant de fois pour que je puisse te retrouver, et c’est à mon tour de lui montrer que je suis présent pour lui aussi. Je serais donc là pour l’aider, et si ça devait mal se passer, saches que je t’aime et que je t’aimerai toi et le bébé plus que tout dans ma vie. Mais si tout ce passe comme prévu, je partirai une fois ma tâche accomplie pour aller retrouver ma tante au Mexique, et je garde bon espoir qu’un beau jour nous vivrons ensemble là bas, faisant des ballades à dos de lamas…

Je dois te laisser, ma Mari, il est temps pour nous d’y aller. Notre destin se joue ce soir.

Vous me manquez plus que tout, je vous aime.

Fernando, papa… »




bon malgré tout ce que vous pourrez dire de cette scène, moi j'en suis vraiment pas convaincu. les pensées de sara sont baclées, et lincoln et sucre je sais pas mais j'aime pas tout simplement !!! dsl.

edit : ah par contre j'aime bien les couleurs que j'ai choisies, ça fait très "automnale" et là je me marre toute seule par rapport à un truc que j'ai prévu en rapport avec ça mais dans mon autre fic !!! faut pas chercher à comprendre lol

Mdddr, en effet, ça fait très automnal, et je trouve que ça reflète bien le temps qu'il fait en ce moment chez moi

Breef. Pourquoi tu trouves que c'est bâclé ? Moi je ne trouve pas, sincèrement. Bon, c'est peut-être un peu moins détaillé que pour tes autres suites, mais ça reste génial, ça colle parfaitement au personnage !!

On sent bien toute la tension dans cette suite, l'attente est insupportable, même pour nous ^^' Alors Milii, ne traîne pas trop pour la suiite !!!

Et ben moi j'aime cette suite... déja je trouve ca cool que tu ai lassé place aux pensées de Linc et "celles de Sucre".. Ensuite pour celle de Sara, je ne les trouvent pas baclées du tout, au contraire le fait que tu en donne peu, je trouve ca encore plus palpitant pour la suite, le fameux plan de Mike, j'ai encore plus hate de connaitre cette scène qui sera décisive pour eux...

je trouve la lettre de Sucre trop belle... (d'ailleurs t'es sure que c'est lui qu'il l'a écrite lool)

et puis encore uen fois j'aime comment tu as décrit cette scène d'attente, le comprotement de lincoln, de son point de vu et de celui de Sara... Elle semble s'éterniser et donne l'impression que 16 heures ne passera jamais... bref j'ai l'impression que c'est moi qui attends la, le pire c'est qu'il n'est que 13 h 30 et des poussières lol et alors 18h24 précise c'est dans longtempssssssss a&ussi loool

bon j'arrêtes de dire nawak, aller la suite... que je lirais plus tard comme je t'ai dit en MP sur undé je retourne à Expiation..

bin c'est gentil même si moi vraiment je suis pas convaincue
sinon bin pour la lettre de sucre bin nan c'est pas lui qui l'a écrite c'est moi lol !!!!!
bon alors faut pas que j'oublie de mettre la suite pour 18h24 alors !!! bonne idée islem !!!

edit : ah bin tiens tu parles d'expiation et moi pendant que je tape mon com j'entends la musique qui passe en fond sonore !!!